Le mystère du vrai-faux limogeage de Monsieur Benoit Leclercq de son poste de Directeur Général de l'AP-HP commence à s'éclaircir, avec un article d'Eric Favereau sur son blog sur le site de Libération.fr : Assistance Publique de Paris, on cherche le patron ... En substance, la décision semble bien avoir été prise à la va-vite au niveau des conseillers de la Présidence à l'Elysée, dans la panique devant les évènements et la révolte du personnel de l'AP-HP. Dans l'urgence et sans en avertir le Ministère de la Santé qui tombe des nues lorsque confirmation de la rumeur lui est demandée. Dans un second temps, l'hésitation prévaut et un démenti tombe finalement aussi de l'Elysée.
L'explication de ce revirement n'est cependant pas claire, mais il est difficile de s'ôter de l'idée quelque chose du genre : "Il a fichu une belle pagaille et on le ferait bien sauter. Mais c'est la dernière ligne droite avant que les restructurations irréversibles soient gravées dans le marbre. Alors finalement, c'est sans doute mieux de le laisser prendre les derniers coups de la bagarre et de ne retirer les marrons du feu que juste après qu'il soit passé en force". L'histoire du fusible qui doit sauter quand ça chauffe trop, mais que, grillé pour grillé, on essaie de faire tenir malgré tout le plus longtemps possible. Et c'est d'ailleurs bien le sentiment qu'on a à la lecture de l'interview accordée à l'APM par Monsieur Pierre Coriat, Président de la CME et membre du Conseil Exécutif de l'AP-HP.
Voilà pour la petite histoire dont on mourait d'envie d'apprendre le fin mot. Encore qu'on puisse douter que les choses se limitent à une question de personne.
L'explication de ce revirement n'est cependant pas claire, mais il est difficile de s'ôter de l'idée quelque chose du genre : "Il a fichu une belle pagaille et on le ferait bien sauter. Mais c'est la dernière ligne droite avant que les restructurations irréversibles soient gravées dans le marbre. Alors finalement, c'est sans doute mieux de le laisser prendre les derniers coups de la bagarre et de ne retirer les marrons du feu que juste après qu'il soit passé en force". L'histoire du fusible qui doit sauter quand ça chauffe trop, mais que, grillé pour grillé, on essaie de faire tenir malgré tout le plus longtemps possible. Et c'est d'ailleurs bien le sentiment qu'on a à la lecture de l'interview accordée à l'APM par Monsieur Pierre Coriat, Président de la CME et membre du Conseil Exécutif de l'AP-HP.
Voilà pour la petite histoire dont on mourait d'envie d'apprendre le fin mot. Encore qu'on puisse douter que les choses se limitent à une question de personne.
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